Récit De La Première Double Vaginale De Virginie : Dans L’Appartement (Épisode 3)

Dans l’appartement qui était le sien, rue du faubourg Saint-Antoine, Phil avait emménagé
un salon très cosy et chaleureux. L’ensemble avait été aménagé avec gout et était
harmonieux ce qui ne manqua pas de surprendre agréablement la belle venue disons-le pour
se faire culbuter par les deux compères.
Dans un coin du salon, il y avait en effet un grand canapé surmonté de coussins moelleux
en velours. La belle imagina que ce pourrait être là le centre de ses ébats amoureux avec
Phil et Yves ce qui effectivement ne manqua pas d’arriver. Il faut croire aussi qu’il se
passa des choses aussi dans la chambre car la belle en avait gardé aussi un souvenir
marquant autre que celui qu’elle me raconta et qui focalisa mon attention sur elle tout
le long de son discours, à savoir sa première double pénétration vaginale !

A cet effet, je ne saurais y aller par quatre chemins et vous dire que Yves avait bien sa
bite toute entière dans le con de Virginie. La belle le chevauchait penchée vers lui dans
le canapé. Elle était alors entièrement dévêtue, s’était assise pour commencer et pour
aguicher ses deux messieurs dans le canapé du salon. Yves et Phil déshabillèrent la belle
qui était venue pour cela. Ils l’embrassèrent, caressaient ses seins toujours aussi ronds
et dodus.
Lorsque ma belle chevauchait Yves, face à lui, dans le canapé, Yves la tenait si près de
lui qu’il pouvait embrasser les mamelons de ma chérie sans aucunement relever la tête. Ma
belle avait ses jambes repliées sur ses cuisses si bien qu’elle aurait pu chatouiller
avec ses pieds, les bourses de Yves trop occupé à la pénétrer profondément.

Mais, s’il est aisé pour moi maintenant d’imaginer ma chérie se faire prendre comme cela
(la belle a du vécu !), la suite n’en fut pas moins déstabilisante pour moi car arriva ce
que je n’imaginais pas et Virginie elle-même ce jour là ne s’attendait pas à ce moment
imprévu : Yves était en elle dans sa chatte.

Mais soudain, sans prévenir, Phil vient
mettre son dard dans la chatte de ma meuf, qui pour la première fois de sa vie subissait
sa première double pénétration vaginale.

- « Quoi ! tu as osé faire ça sans moi ! » lui criai-je au téléphone.
- « Oui, écoute, je suis désolée, répondit Virginie. Il m’a prise de force et ne
m’a même pas demandé mon avis » se justifia Virginie auprès de Bob.
- « Mais tu te rends compte de ce que tu me dis ? »
- « Oui, je suis désolée, Bob. Tu sais bien. »

Virginie feignait encore la pauvre malheureuse, prise au dépourvu et n’ayant aucunement
le choix de son destin. Et Bob rageait de savoir que sa dulcinée avait fait cela sans
lui, car s’il admettait dorénavant que sa chérie pouvait avoir quelques rapports protégés
extraconjugaux, il ne concevait pas qu’elle avait à expérimenter d’autres pratiques
nouvelles pour lui comme pour elle. Bob en effet n’avait jamais fait de double vaginale
et s’en tenait aux deux ou trois trios qu’il fit avec sa belle. Il sentait que de plus en
plus la situation lui échappait et cela le faisait bien réfléchir : Virginie était une
bonne baiseuse, la meilleure qui soit et qu’il ait connu mais pouvait-il se résigner à
l’épouser un jour. Le doute s’installa dans son esprit.